Voilà quatre jours que nous avons posé nos pattes sur la terre accueillante et volcanique de ce beau centre névralgique de l'Auvergne, pour vivre de l'intérieur le démentiel festival mondial du Court-Métrage. Et ça parle dans toutes les langues, ça remplit la salle Cocteau de ses 1500 places toutes les deux heures-même-pas-peur, ça lit et respire L'Humanité dans le grand hall de la Maison de la Culture, ça sent bon le thé à la menthe et les pâtisseries orientales-maison vendues au profit d'une asso caritative marocaine, ça donne sa place vacante pour une des soirées du festival en la scotchant pour qui veut dans l'arrêt de bus... ça colle à tout va les affiches de ses films, de ses festivals ou rencontres, ça projette aux quatre coins de la ville, c'est rempli de marmots, de jeunes, de grands, de retraités du matin jusqu'au soir, ça débat, ça médite, ça rigole, c'est bouleversé...
... et je me dis que le cinéma a ce pouvoir, incontestable, de nous rendre et nous garder incroyablement v i v a n t s et é v e i l l é s !
J'ai eu la chance de faire partie des enseignants vous ayant rencontrée mardi après-midi. Ca a été un plaisir de vous écouter parler de votre film, de son environnement, de sa naissance... Il fait partie de mes coups de coeur de ce festival, il est magnifique, empreint d'une jolie morale. Continuez ainsi pour faire naitre un nouveau bijou tel que D'Ombres et D'Ailes.
RépondreSupprimerMerci beaucoup à vous, Maud !
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